Ce qu’en disent les artistes
Isabelle Puissant
On entre à fond dedans par le… par l’entrée, c’est-à-dire « Le banquet des rois ». Et évidemment là on a tout le cadre, on a vraiment toute la question de… de la domination. On peut le dire comme ça. La prise de pouvoir des monstres hein qui prennent… qui dessinent le monde à leur image et auquel le reste du monde doit se soumettre. Alors chacun peut y voir des tas de couleurs, de teintes, mais moi c’est comme ça que je l’ai reçu.
Christine Horman
Le récit… avec lequel je me suis… où je peux dire « Ah putain j’y suis quand même arrivé ». Parce que d’un point de vue dramaturgique il fallait quand même toute la base dedans. Et donc pour moi c’est quand même le banquet des rois. Alors si même c’est pas du tout mes personnages préférés. Mais… c’est le… le récit où quand même on met le cadre. Où… où on comprend que c’est le pouvoir qui décide c’est quoi les corps. Et que ce pouvoir, c’est quoi un corps valide et c’est un corps… un corps qui a le droit d’exister tout simplement, et que j’ai incarné ce pouvoir dans des rois. Et que ces rois sont des… on voit qu’ils sont… ben c’est… c’est la force du pouvoir avec l’immaturité que ça peut avoir, avec la… le fait que c’est… ça peut être absurde. Et que ça peut être des caprices. Que ça peut être de la cruauté pure. Et je trouve que là il y a quelque chose qui est mis en place où… où je trouve que ça campe bien le… l’univers. Et que ça je savais qu’il fallait pas le louper.