Dima Toncheva | 2015
La spectaculaire avancée de la médecine dans le domaine de la procréation assistée repousse constamment les limites du possible. Si certaines pratiques sont devenues aujourd’hui, des actes médicaux répandus, comme la fécondation in vitro par exemple, ou encore l’insémination artificielle, d’autres posent de sérieuses questions dans le domaine de l’éthique c’est le cas du diagnostic préimplantatoire (DPI) permettant la sélection des embryons, ou encore la mise en place de banques de matériel génétique.[1] De plus, « l’intervention de l’homme sur les gènes du vivant, rendue possible par la science, pose et posera de plus en plus de problèmes éthiques impliquant de véritables choix de société »[2].